• Dans le sillage radical du nouveau flamenco, RocÍo Molina signe Bosque Ardora pour 6 musiciens et 3 danseurs. Qu’importe la musique, les sols, la gestuelle ou le lieu, pourvu qu’il y ait don.

  • Avec Rocío Molina, 30 ans seulement, le flamenco a rencontré sa révolution. Elle est le symbole d’une avant-garde. Dans Afectos, sa danse illumine les chants de Rosario « La Tremendita ».

  • Un message écologique comme un chant d’amour à une nature africaine intacte. Ou comment danser contre les « leda », ces sacs plastiques qui étouffent littéralement le continent.

  • Ou comment la promesse d’Ithaque et l’obstination toujours recommencée d’Ulysse pourraient dire quelque chose de la recherche du mouvement.

  • Mettre quatre corps sur un plateau tels quels et compter sur la danse pour accepter l’un et l’autre.

  • L’œuvre de William Forsythe est régulièrement présentée à Lyon grâce aux danseurs du Ballet de l'Opéra avec lesquels il collabore depuis de nombreuses années en leur transmettant quelques-unes des plus belles pages de son emblématique répertoire. La Biennale donne cette année l'occasion, pour la première fois, de découvrir l'une des plus récentes pièces du maître, interprétée par les danseurs de sa propre compagnie et c'est un événement.

  • Il a fait chuter et voler ses acrobates sur L’Art de la fugue de Bach, aujourd’hui Yoann Bourgeois leur demande de se tenir debout, du moins de garder l’équilibre quand le sol peut à tout instant se dérober sous leurs pieds. Un geste artistique fort pour un cirque à la portée existentielle.

  • Écriture pulsionnelle de Yuval Pick et partition électro-acoustique de la compositrice américaine Ashley Fure. Nouvelle création pour le directeur du CCN de Rillieux-la-Pape. Au programme : une écriture à quatre mains pour créer une architecture gestuelle et sonore.