Introduction

Face à un monde qui change, LPA, opérateur historique du stationnement dans la métropole lyonnaise, se diversifie et prend en compte les nouvelles pratiques de mobilités pour permettre aux particuliers et aux professionnels de vivre une expérience de parcours dans une ville apaisée et responsable.

Pour mieux accueillir les passagers urbains, qu’ils soient piétons, cyclistes ou automobilistes, LPA se transforme pour devenir une société de services, plus sobre, dédiée à tous les habitants et visiteurs du territoire.

Si pour LPA la mobilité est un art, LPA s’implique aussi pour rendre l’art accessible à tous. Pendant près de 30 ans de construction et d’aménagement de la ville, l’entreprise a donné une place importante à l’art contemporain au sein de ses parcs de stationnement par des commandes d’oeuvres à des architectes, designers, ou artistes. Aujourd’hui une collection d’une vingtaine d’oeuvres, accessible à tous gratuitement, est à découvrir en sous-sol : du kaléidoscope de Daniel Buren au Parc Célestins à la structure colorée de Mengzhi Zheng imaginée pour le Parc Les Halles, des oeuvres in situ offrent une expérience émotionnelle inédite au sein de parkings et en faveur de la présence de l’art dans la ville.

En 2021, la politique de mécénat artistique et culturel de LPA a été renouvelée par un soutien à de nombreux acteurs culturels du territoire afin d’offrir un prolongement à leurs événements et mieux connecter les oeuvres des parcs aux usagers de la Ville. Dans une démarche d’ouverture, l’ambition est de mettre en lumière l’existence de ce musée souterrain, pépite à découvrir ou à redécouvrir.

En 2022, LPA poursuit son engagement auprès de la Biennale d’art contemporain en donnant à voir une oeuvre réalisée par Aurélie Pétrel, artiste déjà présente dans la collection du musée souterrain de LPA. L’oeuvre de la Biennale se déploie entre les Usines Fagor et le Parc République et développe le thème de la fragilité et des liens entre Lyon et le Liban. L’artiste, photographe, travaille à partir des espaces qu’elle investit, l’image devient volume. Cette oeuvre entre en résonance avec l’installation photographique, Abscisses et ordonnées, réalisée en au Parc Marché Gare