Les évènements en Résonance

Une conversation autour du travail de l'artiste Dounia Chemsseddoha (vit et travaille en France), en résidence durant le mois de septembre 2022 à an• other here.

Vernissage du salon ADN

La logistique consiste à organiser l’entreposage et le transport des matières premières, des composants pour l’industrie et des marchandises depuis leurs lieux de fabrication jusqu’à leurs lieux de consommation. L’image du « flux tendu » et les promesses de sa digitalisation présentent cette activité comme un écoulement continu et auto-régulé de marchandises. Or les entrepôts constituent des points de passages obligés pour pouvoir contrôler, stocker, dégrouper, préparer et réexpédier les marchandises vers leur destination finale.

Découvrez les performances des chorégraphes tout-terrain Julie Desprairies et Thierry Thieû Niang !

Daniel Moreno Roldán est en résidence à art3 d'octobre à novembre. Un projet finalisera sa résidence.
Daniel Moreno Roldán est un artiste et musicien. Son travail se concentre sur les notions d’obsolescence, de nostalgie et de fugacité dans les environnements numériques. À partir d’une recherche, il collecte des images, fichiers numériques, liés à l’industrie audiovisuelle mettant en lien la fragilité des supports traditionnels avec l’idée de fétichisme basé sur l’émotion.

2022, Année Internationale du Verre, déclaration de l’Assemblée Générale de l’ONU

Depuis le mois de juin 2022, l’artiste transdisciplinaire Nawelle Aineche réalise une résidence sur le territoire du Pays de L’Arbresle dans le cadre du projet de parcours artistique Les Murmures du Temps. Elle aborde les thématiques du lien, de la mémoire et du temps, en explorant la pratique du tissage. Cet événement présente l'œuvre créée à l'issue de cette résidence.

« Coucher sur le papier l’innommable. Donner corps à l’insoutenable. L’art de Najah Alboukai fait front. Et la confrontation laisse sans voix. La moindre parole, le plus bref commentaire reste en travers de la gorge. Que dire sans impudeur ?» Jérôme Godeau

De fins panneaux de soie transparente, sur lesquelles ondule une trace de couleur luisante, jaillie en un geste, frémissent au moindre souffle d’air. Venu d’ailleurs, étrange, profond ou à la limite des aigus, le son d’un saxophone se déplace, marche lente de la musicienne. En symbiose, une danseuse se glisse dans les silences et le rythme qui parfois s’accélère. Son corps épouse les formes peintes et fait vibrer l’installation. Les spectateurs acteurs installés sur des coussins sont immergés dans l’œuvre.

Ça a débuté comme un questionnement : Quelles sont ces géographies qui s’inscrivent silencieusement ? Quelles en sont leurs origines ? Une essence précieuse dont il faut prendre le plus grand soin ?

Kampaï
Visite et dégustation